-Des avis, en veux-tu en voilà ! (suite)-




Alors, Visiteuse ou Visiteur, est-ce que la lisibilité de cette présente page est nettement plus confortable par rapport à la précédente ?... Je sais, je suis parfois taquin (je pense d'ailleurs à la page d'accueil), et je ne pense pas que cette page antérieure vous a foncièrement nui, visuellement parlant. En la circonstance, j'aurais dû, bien sûr, vous avertir plus tôt, si vous ne le saviez pas déjà, des précautions d'usage, à savoir une baisse de la luminosité de votre appareil (ordinateur, tablette, smartphone, etc) et l'utilisation d'une paire de lunettes possédant des verres fumés. Sans parler des quelques logiciels spécifiques et d'actualité permettant ces ajustements automatiques, lesquels ne nécessitant pas toutes ces mesures d'un autre temps et que je viens à l'instant de vous confier. Mais, que voulez-vous, étant donné mon âge assez avancé, c'est plus fort que moi, je m'en réfère d'abord et toujours à mes bonnes vieilles pratiques vintage (d'un boomer, dites-vous ? Aaah, mais je suis tout à fait d'accord ! Croyez bien que je n'ai pas choisi le jour de ma naissance, sans parler de la situation géographique de mon apparition, et que je n'en tirerai aucun sentiment de culpabilité, eu égard aux autres précautions personnelles respectées, selon tel ou tel comportement de nature compulsive et liée à notre société de consommation dont nous sommes toutes et tous, selon tel ou tel pays, des usagers plus ou moins assidus et attentifs aux éventuelles répercutions négatives, voire strictement néfastes pour le monde dans lequel on vit...).


Venons-en maintenant, plutôt que d'échanger entre nous de manière abrupte et puérile, à notre sujet qui suit : la restauration photographique (par la manipulation des pixels, évidemment, via un logiciel approprié).

Dans la rubrique PASSION, j'ai raconté cette activité personnelle mais sans donner un exemple visuel et ainsi concret. En conséquence, c'est assez frustrant et vous vous demandiez certainement s'il n'y avait pas, vulgairement parlant, du foutage de gueule de ma part, comme le comportement de celle ou celui qui aurait observé en rase campagne un petit homme vert en train d'effectuer quelque réparation en dessous de son astronef en forme de soucoupe, et son témoignage ensuite relaté vers ses semblables sans pouvoir leur fournir la moindre preuve tangible et convaincante, à part quelques trous ordinaires apparents au niveau du sol et quelques touffes d'herbe visiblement brûlées. Ce n'est pas avec cela, en effet, que votre ratio de "bovis" va particulièrement s'élever... Hé bien, chers internautes, Visiteuses et Visiteurs, vous pouvez d'ores et déjà lever vos bras bien haut vers le ciel tout en exprimant sans retenue aucune votre inextinguible euphorie (hip hip hip !...). Oui, réjouissez-vous, Lectrices et Lecteurs (vous permettez que je vous appelle également ainsi ?), je vais pouvoir attester de la véracité de mes dires en vous soumettant sous vos yeux une illustration restaurée par mes soins, laquelle ne pourrait souffrir bien longtemps tel ou tel argument issu d'un libre examen plus ou moins fiable quant à l'esprit de la controverse, jugement exposé ensuite par le biais de mon formulaire... (Mais fort heureusement : que dalle !).

Avant de vous présenter cette magistrale preuve photographique, il me faut tout de même revenir sur le problème lié aux droits d'auteur, ceci déjà expliqué dans ma page d'avertissement de dernière minute (celle-ci se voulant informative, légère et sans tomber dans le catastrophisme, bien sûr, j'espère que vous l'aviez compris). Cet empêchement, en effet, peut être contourné sans difficulté si on fait appel à des photos ne nécessitant pas des contraintes auparavant citées et que j'ai dû affronter. Cette esquive peut s'effectuer par le biais de ces clichés gratuits et libres de droit, donc libres d'utilisation, et que l'on peut télécharger sur tel ou tel site spécialisé. Ainsi, en recherchant à ces endroits un exemple caractéristique, en l'occurence une photographie ancienne et arborant les ravages du temps, je tombais sur un cliché particulièrement démonstratif en ce sens. Il ne me restait plus ensuite qu'à opérer les étapes techniques nécessaires sur cette photographie pour lui donner un aspect plus présentable, en respectant toutefois l'époque et le sujet représenté. Cette considération, bien entendu, étant le moindre des protocoles envisageables vis-à-vis du document concerné.

Sans plus attendre, donc, voici les photos, d'abord celle en son état déplorable, suivie par la même mais restaurée... Ah ben mince alors ! Il n'y a pas moyen de faire figurer la photo originale sur la page !! Dingue ! (J'ai pourtant bien codé le truc, bon sang !). Ce n'est pas aussi libre de droits que ça en a l'air, on dirait ?! Désolé... Vous pouvez toutefois estimer la différence en allant sur tel ou tel site expliqué plus haut, dont celui noté en italique sous la photo restaurée. (Ah ben, j'en reviens pas, dites-donc !).


Photo vieillie d'un soldat

Photo restaurée d'un soldat

- Picture from Website : pexels.com -


Alors ? Ça l'fait, non ? Le résultat est plutôt probant. Et je dirais même spectaculaire !... (Ouais, bon, okay, j'arrête de m'jeter des fleurs !).

Avec ce document, l'auteur de celui-ci est inconnu, le sujet semble également non identifié. On peut quand même situer approximativement l'époque, vraisemblablement au début du vingtième siècle, voire lors de la première guerre mondiale. Ce militaire a-t-il survécu à cette effroyable apocalypse ? Était-il un soldat britannique, canadien ou d'une autre contrée ? Quel était au juste son rang militaire ? Je ne saurais répondre à ces questions, n'étant pas assez calé dans ce domaine et en notant que la légende de cette photo ne mentionne aucune information (peau d'balle !). Ce que j'ai d'abord remarqué, bien sûr, c'est l'aspect dégradé de ce cliché. Il aurait été inconcevable pour moi de passer outre à une restauration digne de ce nom. Lors de celle-ci, je me suis quand même permis de refondre la partie arrière-plan et servant d'environnement au décor (en carton-pâte ?) placé près de la fenêtre, signifiant que l'on se trouvait ici, à n'en point douter, dans un studio professionnel photographique. La pose étudiée du sujet ne peut que confirmer ce constat. Il est évident que l'appareil utilisé pour capturer cette image était plutôt du genre imposant, installé sur un long trépied afin d'être à hauteur de visage et muni d'un drap noir où le photographe devait s'en revêtir la tête pour lorgner l'oeilleton, une main à l'extérieur afin d'actionner le mécanisme permettant la prise du cliché. Cela demandait de la dextérité et un certain temps... Une autre époque, eh oui, bien éloignée de celle de nos selfies tellement accumulés qu'on ne sait plus quoi en faire... De plus, en revenant vers notre cliché, la tonalité en noir et blanc de celui-ci devait être évidemment respectée. C'est la moindre des choses. Compte tenu de l'aspect historique du sujet, celui-ci ne peut pas être considéré comme un simple exemple anodin dont on pourrait se permettre une quelconque fantaisie imbécile, sous prétexte de faire son buzz du moment...

Voilà, en espérant que mon travail de rénovation certifié par cet exemple aura provoqué chez vous, Visiteuse, Visiteur, un minimum d'introspection sur les bons et les mauvais aspects de toutes les époques, y compris la nôtre, de l'Histoire de l'Humanité, et ce, sans avoir l'intention de vouloir aujourd'hui corriger ou effacer quoi que ce soit dans celles-ci afin de se donner une vaine et grotesque bonne conscience... Oh, je le sais, ce n'est pas ici, dans ce site, que l'on va résoudre tous les problèmes. Seulement, comme cette présente suite de rubrique s'intitule "Des avis, en veux-tu en voilà !", eh bien, j'y apporte donc les miens (puisque, hein, peau d'balle de votre part !), qu'ils soient légers ou pas et que ceux-ci vous offusquent ou non.


Tiens, à propos de correction, je me dois de vous informer d'une faute de ma part, cette erreur de français se situant dans la rubrique JEUX, Bouton n° 6, rébus n° 1, sixième indice. En effet, il aurait été plus cohérent de formuler, à la place de "Pas beau" un truc du genre "Largeur de papier peint" ou simplement "Laize". Vous l'aviez sans doute déjà notée, mon erreur provient d'un défaut de prononciation par rapport à la solution, à savoir "lé" au lieu de "laid". Souvenez-vous, par exemple (du moins pour celles et ceux ayant un âge satisfaisant pour avoir été témoins de cela devant la télévision et peut-être au cinéma), de la réclame des années cinquante où le comédien-acteur Raymond Souplex nous donnait ce conseil lapidaire : "Buvez du lait !" (Et ça serait-y pas du vintage ça, ou quoi ?). Eh bien, dans cet exemple, le "ez" ne se prononce pas de la même façon que le "ait". Il était primordial de souligner cette bévue. Ah ben oui, hé ! Je dois vous paraître quelque peu tatillon mais je ne pouvais vraiment pas laisser passer ça ! Ah non !

Cette précision étant apportée, il se peut fort bien que d'autres erreurs, celles-ci de nature syntaxique ou grammaticale, se cachent ici et là dans mes textes. Personnellement, ces fautes ne vous sautent pas tout de suite aux yeux et le fait de s'auto-corriger n'est pas un exercice infaillible. Néanmoins, et compte tenu de la qualité généralement déclinante de notre français parlé et écrit depuis quelques années au sein de mon pays, je pense que vous vous montrerez, Lectrices et Lecteurs résident(e)s du même endroit, assez indulgent(e)s à mon égard... Bon, allez, on ne va pas pour autant sombrer dans le pessimisme car on est toutes et tous perfectibles, heureusement ! Et ça ne se fait pas sans des réels efforts prodigués, c'est évident. Et il n'y a pas d'âge pour rehausser son niveau, bien sûr.

Je dois également ajouter une erreur (encore ?!), cette fois vraiment indépendante de ma volonté, cette faute ayant une conséquence purement visuelle par rapport à l'un de mes dessins : il s'agit du premier présenté sur la page "Volet 2" de la rubrique PORTFOLIO. Vous l'avez peut-être déjà remarqué mais certaines boules de billard présentes sur la table du même nom ne sont pas d'une sphéricité exemplaire, c'est le moins qu'on puisse dire. Sans nul doute que ces boules ne seraient pas du tout homologuées lors de tel ou tel championnat ! Pourquoi une telle déformation ? Eh bien, la raison s'explique par le fait que je n'ai pas scanné mon dessin mais que je l'ai photographié, compte tenu du format un peu grand de ce dessin par rapport à mon appareil de numérisation. Comme je ne suis pas un photographe confirmé, la distance focale (mais est-ce bien de cela dont il s'agit ?) n'était pas au top, d'où cet aspect un peu difforme comme résultat. J'espère que vous ne m'en tiendrez point rigueur (faute avouée est à moitié pardonnée !). J'aurais dû depuis effectuer les corrections nécessaires, je sais, mais bon... Bon, ben voilà, je crois que c'est à peu près tout... Ah si ! Je tiens tout de même à préciser qu'à aucun moment je n'ai fait appel à une quelconque A.I., autrement dit une intelligence artificielle pour la conception de ce présent site, si vous voyez ce que je veux dire. Ça viendra peut-être par la suite mais ce serait alors d'une manière plutôt prudente et infinitésimale (Eh ouais, parole de boomer, moi j'te l'dis !).


Autre sujet important à traiter et que je tiens à mettre au point : je suis persuadé que certain(e)s Visiteur(se)s se sont demandés, après consultation de mon site, si mon expression orale était parfaitement identique à mon expression écrite. Autrement dit : est-ce que je parle, est-ce que je m'exprime dans la vie de tous les jours exactement de la même manière que j'accumule les mots sur le papier et donc également dans ce présent site nommé InciteàLire ? Ainsi, comme vous pourriez me le demander au hasard et au détour d'un coin de rue et dans la vie réelle :
"— Hé toi !... Oui, toi ! Tu causes vraiment pareil que t'écris, toi, ou quoi ?!...".
Ma réponse, il faut que vous le sachiez, est limpide, évidente et sans ambages :
"— Que nenni ! C'est totalement erroné ! Vous vous fourvoyez ! Mais où donc allez-vous supposer de tels raisonnements chimériques et farfelus, à la fin ?!... Ah mais, sachez bien, tout de go et pour votre élémentaire gouverne, que ma rhétorique et ma locution se situent au même niveau que les vôtres, ne vous en déplaise !... Ah mais, foutre diantre ! C'est absolument inconcevable de devoir se justifier de la sorte et ici-même sur ce présent parvis, Monsieur l'inconnu ! Et de surcroît, un lundi dès potron-minet glacial et particulièrement brumeux !... Brrr !! Mais quel frimas ! C'en est trop ! Sur ce, je m'en retourne à mes obligations et je ne vous salue point, Monsieur !".
Et de continuer aussitôt mon chemin, d'un pas rapide et ulcéré, plantant là ce quidam, ma sombre silhouette se dissipant déjà dans les volutes du brouillard fuligineux...

Ah ben, hé, il l'aura cherchée sa réponse, hein ? Hé ! Ho ! (Non mais !).


En ce qui concerne mon expression écrite, vous vous attendez peut-être dans cette présente suite à un tapuscrit supplémentaire par rapport aux deux précédents déjà diffusés. Eh bien, j'ai le regret de vous apporter la réponse suivante et qui sied impeccablement à ce qui a été relaté ici et auparavant : "Peau d'balle !". En effet, c'est normal puisque cet éventuel tapuscrit n'existe pas et n'est même pas conçu à un état antérieur et donc logiquement établi en tant que manuscrit. C'est ainsi. Oh, cela n'a rien à voir avec le souci de la page blanche évoquée plus haut. Il faut d'ailleurs savoir que les deux tapuscrits en question étaient réalisés avant l'idée réelle de prendre la décision de concevoir mon site (j'en étais encore, à cette époque, à apprendre les langages informatiques appelés le "C" et le "C++"... C'est vous dire, n'est-ce pas, si vous êtes un développeur en herbe et ainsi apte à saisir ce que cela veut dire, que je n'avais pas vraiment de but encore bien déterminé par rapport à ce que j'apprenais). Et puis, les langages "HTML5", "CSS3" et "PHP" se sont imposés à ma connaissance, provoquant dans mon esprit un projet conséquent et enfin matérialisé ici, après quelques années ajoutées d'étude et d'exercices qui s'imposaient, sur le support de la Toile que tout le monde connaît.

Encore avant cela et n'étant pas encore connecté à l'Internet (seulement et enfin en l'année 2014... Non mais, vous vous rendez compte ?), mes activités numériques se limitaient à la conception d'images de synthèse via le logiciel bien connu et déjà nommé plus haut. Je vous propose donc quelques exemples réalisés lors de cette période sur la page suivante : CLIC